La constitution d'une SCI ne procure aucun avantage fiscal, les activités commerciales lui sont interdites et les associés sont responsables des dettes sociales de façon infinie. La société civile, immobilière notamment, a, depuis quelques années, conquis de nombreux admirateurs. Ils l'ont adoptée sans bien toujours savoir à quoi ils s'exposaient. Assez étrangement, cette structure est devenue à la mode, un peu comme si l'on voyait en elle un signe extérieur de richesse. Comme s'il était plus chic de détenir un bien immobilier au travers d'une société civile que par le biais d'une indivision judicieusement assortie d’une convention liant les indivisaires. (…)
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Source : Le Revenu - Michel Tirouflet

L'entrée en vigueur du prélèvement à la source perturbe le fonctionnement de certains dispositifs fiscaux. Certains bailleurs ont intérêt à reporter leurs gros chantiers. En temps normal, la fiscalité française recèle déjà quelques subtiles complexités. Mais avec la mise en place du prélèvement à la source (PAS), elle a franchi un nouveau cap. A ce titre, 2019 est une année de transition, jalonnée d'embûches. La mise en garde vaut en particulier pour certains propriétaires bailleurs de logements nus, imposés sur leurs revenus fonciers. S'ils ont opté pour le régime dit du "réel", qui leur permet de déduire toutes leurs dépenses pour alléger leur taxation, ils risquent de déchanter dans le cas où ils entreprendraient de gros travaux cette année. Précision : les locations meublées ne sont pas concernées. Des travaux locatifs pris en compte à hauteur de 50 % en 2019 (…)
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Source : Votre Argent - Laurence Ollivier

En 2018, les SCPI ont rapporté environ 3 300 € en moyenne aux épargnants pour un montant placé de 75 000 €, soir 4,39 %. Un complément de revenus non négligeable, dans l’actuel contexte financier où les placements traditionnels comme le Livret A ou l’assurance vie rapportent peu.

L’argent investi dans des Sociétés civiles de placement immobilier (SCPI) - 75 000 € par épargnant en moyenne - n’a pas à être regretté. Avec un rendement global de 4,39 % (taux de rendement moyen) en 2018, les SCPI ont distribué en moyenne 275 € par mois aux épargnants soit 3 300 € par an (..).

Ainsi, en dessous de la barre des 5 %, la performance de ces fonds d’investissement immobilier est plus intéressante que les taux d’intérêt servis par les autres placements. En comparaison, il est près de 3 fois supérieur à celui de l’assurance vie (fonds en euros) et 5 fois plus élevé que le rendement du livret A, qui ne rapporte plus que 0,75 % par an.

Compte tenu de cet état de fait, les SCPI ont séduit plus d’un million d’épargnants. Depuis sa création dans les années 60, elles ont acquis près de 12 000 actifs immobiliers de tout type (du petit commerce à l’immeuble de bureaux en passant par la plateforme logistique).

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Source : http://leparticulier.lefigaro.fr

 

 

Le régime fiscal des plus-values immobilières s'est complexifié et alourdi. Quelques explications pour calculer l'impôt à payer en cas de vente d'un bien taxable. Si vous réalisez un gain à l'occasion de la vente d'un bien immobilier (appartement locatif, résidence secondaire...), celui-ci est soumis à l'impôt sur le revenu et aux prélèvements sociaux. Malgré une fiscalité durcie, plusieurs régimes d'exonération de plus-value ont été maintenus. Le principal, celui auquel les Français sont le plus attachés, porte sur la résidence principale.  

Pour déterminer le gain imposable En 2019, la taxation de la plus-value s'établit à 36,2 %, soit 19 % d'impôt sur le revenu (IR) et 17,2% de prélèvements sociaux. L'impôt dû est calculé sur la différence entre le prix de vente et le prix d'achat, ce dernier majoré de certaines dépenses sur justificatifs (…).

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Source : Votre Argent - Rosine Maiolo

Découvrez le 10ème épisode de « How I met my CGP », la web série de #PrimonialSchool.

Louise est un personnage fictif qui aborde des sujets associés à l'univers de la gestion de patrimoine.
Dans ce nouvel épisode, Louise découvre la "transférabilité" des contrats d'assurance vie.

Cliquez sur la vidéo pour visionner :

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Source : https://www.primonialschool.fr

Le montant de l'impôt 2019 sur les revenus 2018 est calculé sur la base de 5 tranches correspondant à des taux d'imposition allant de 0 % à 45 %.

  • la tranche 1 sur laquelle s'applique un taux à 0 % correspond à la partie des revenus annuels allant jusqu'à 9 964 € ;
  • la tranche 2 (taux à 14 %) concerne la partie des revenus supérieurs à 9 964 € et allant jusqu'à 27 519 € ;
  • la tranche 3 (taux à 30 %) la partie des revenus supérieurs à 27 519 € et allant jusqu'à 73 779 € ;
  • la tranche 4 (taux à 41 %) la partie des revenus supérieurs à 73 779 € et allant jusqu'à 156 244 € ;
  • et enfin la tranche 5 (taux à 45 %) la partie des revenus supérieurs à 156 244 €.

Par exemple, pour un célibataire (une part) qui déclare 30 000 € de salaire annuel net imposable.

  • Pour la tranche 1 (0 % des revenus jusqu'à 9 964 €), il doit 0 €
  • pour la tranche 2 (14 % des revenus supérieurs à 9 964 € et allant jusqu'à 27 519 €) , il doit 2 457 €
  • et pour la tranche 3 (30 % des revenus supérieurs à 27 519 € et allant jusqu'à 30 000 €), il doit 744 €.

Le montant total de son impôt brut s'obtient en additionnant 0 € + 2 457 € + 744 €, ce qui aboutit à un total de 3 201 € (10,67 % des revenus).

Source : www.service-public.fr
Publié le 18 avril 2019 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

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« Cette famille s’entend bien, on voit qu’elle n’a pas encore hérité », écrivait Sacha Guitry. C’est encore plus vrai au sein des familles recomposées quand un parent se remarie. On peut toutefois préserver le droit à l’héritage de ses enfants tout en protégeant son conjoint. Les enfants ont la loi pour eux. Le code civil protège leurs droits et interdit de les déshériter, quel que soit le lit dont ils sont issus. La liberté de transmission patrimoniale d’un parent est en effet limitée : il peut faire donation ou transmettre par testament uniquement la quotité disponible, c’est à dire ce qui excède la part réservée des enfants. La suite sur cBanque.com

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Source : cBanque - Michèle Meinac

Vous avez touché des loyers en 2018 ? Alors vous devez vous attaquer au casse-tête des revenus fonciers. Un casse-tête habituel : ces revenus font partie des montants qui ne sont pas pré-remplis dans la déclaration ! Seuls figurent, éventuellement, l’adresse du logement et les noms des locataires si vous les aviez déjà remplis l’an passé. Cette année le casse-tête est encore plus complexe avec le passage au prélèvement à la source. Depuis janvier et le coup d’envoi du prélèvement à la source, vous payez chaque mois (ou chaque trimestre) un acompte d’impôt sur le revenu au titre de vos revenus fonciers. Cet acompte est calculé sur la base de votre déclaration 2018 (sur les revenus 2017). La déclaration 2019 (sur les revenus 2018) va donc déterminer le montant précis à régulariser – ou non – pour l’année 2018, mais elle va aussi affiner le montant de vos futurs acomptes mensuels …
Ce qui change en 2019 pour les revenus fonciers : la suite sur cbanque.com

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Source : cBanque - Benoît Lety

Les courtiers et autres experts du secteur s’accordent à le dire : le crédit immobilier n’a jamais été aussi attractif. Surprise de ce début d’année : les taux sont repartis à la baisse et dépassent désormais les niveaux records de 2016. Sur 20 ans, la durée d’emprunt la plus courante, il est désormais possible d’emprunter en moyenne à 1,25 % ! Une situation exceptionnelle qui devrait se confirmer dans les mois à venir, avec des taux attendus sous la barre de 1 %, pour les meilleurs profils d’emprunteurs. Parallèlement, les durées d’emprunt ne cessent de s’allonger. Depuis plusieurs mois, les courtiers observent un retour des emprunts sur 25 ans… et même sur 30 ans. Là encore, une véritable aubaine pour les jeunes acheteurs aux budgets serrés… qui peuvent ainsi plus facilement accéder au crédit.

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Source : Capital - Thomas Chemel, Guillaume Chazouilleres, Alexandre Loukil

Plus que deux ans !

Les investisseurs intéressés ont désormais jusqu’au 31 décembre 2021 pour se ruer sur le dispositif d’investissement locatif Pinel. Ce dernier, limité depuis le 1er janvier 2019 aux zones les plus tendues du pays, permet de ­bénéficier d’une baisse d’impôts de 12 %, 18 % ou 21 % après acquisition d’un logement neuf proposé à la location 6 ans, 9 ans ou 12 ans, pour un prix maximum de 300 000 euros. Encore faut-il bien choisir son emplacement. L’écrasante majorité des villes d’Ile-de-France sont, par exemple, concernées par ce dispositif. Pour autant, choisir cette option n’est pas toujours une bonne idée, notamment dans les communes des Hauts-de-Seine ou à Paris même.

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Source : Le Monde - Ludovic Clerima