Ne cherchez pas à réduire à tout prix les frais de votre assurance-vie
De plus en plus de distributeurs d’assurance-vie se lancent dans une guerre commerciale. La plupart des courtiers et banques en ligne mettent en avant l’absence de frais sur leurs assurances-vie. Est-ce réellement le premier critère de sélection ? Est-on gagnant sur la durée ?
La suite sur journaldunet.com
Notre analyse : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. qui saura vous accompagner dans le choix de votre contrat d'assurance vie et votre allocation d'actifs en fonction de vos objectifs et de votre profil.
Source : Journal du Net - 03-03-2019
Dépendance : savoir anticiper pour soi-même
Le mandat de protection future permet de régler à l’avance sa protection personnelle et celle de son patrimoine en cas de perte d’autonomie. Très répandu au Québec, en Espagne ou en Allemagne, le mandat de protection future est encore peu utilisé en France mais gagne à être connu. Mis en place depuis le 1er janvier 2009, il permet de désigner une personne qui se chargera de gérer vos biens et de prendre les décisions vous concernant au cas où, à la suite d’un accident ou d’une maladie, vous seriez dans l’impossibilité de le faire. (…)
Source : lemonde.fr - Pauline Janicot
La suite sur https://www.lemonde.fr/argent/article/2019/03/06/dependance-savoir-anticiper-pour-soi-meme_5431907_1657007.html
Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser., spécialisé dans la gestion de patrimoine des personnes protégées, qui saura vous accompagner en en fonction de votre situation et vos objectifs.
Comment fonctionne le prélèvement forfaitaire unique (PFU) ?
Depuis le 1er janvier 2018, un prélèvement forfaitaire unique (PFU) dit « flat tax » s’applique aux revenus du capital. Comment fonctionne-t-il ? Quels sont les placements concernés ?
La loi de finances pour 2018 a reformé la fiscalité applicable aux revenus de capitaux mobiliers en instaurant un prélèvement forfaitaire unique (PFU) incluant à la fois prélèvements sociaux et impôt sur le revenu. L’objectif est de simplifier et d’alléger la fiscalité de l’épargne.
Le taux global du PFU est de 30 %, incluant 12,8 % au titre de l’impôt sur le revenu et 17,2 % au titre des prélèvements sociaux (taux en vigueur à compter de 2018). Il s’agit d’un taux forfaitaire car ce taux ne prend pas en compte votre tranche d’imposition et votre revenu fiscal de référence.
Le PFU s’applique notamment aux revenus des placements financiers suivants :
- Les revenus mobiliers : sont concernés les dividendes (actions et parts sociales versant un rendement variable) et les placements à revenu fixe (obligations, titres de créance, comptes de dépôt et comptes à terme…)
- Les plus-values de cession de valeurs mobilières soumises à l’impôt sur le revenu
- L’assurance-vie
Les revenus de certains produits d’épargne ne sont pas soumis au PFU. Il s’agit notamment des produits d’épargne réglementée :
- Le Livret A
- Le Livret d’épargne populaire LEP
- Le Livret jeune
- Le Livret de développement durable et solidaire LDDS
Le PFU s’applique aux gains réalisés à compter de 2018. Le mode de prélèvement dépend de la catégorie de produits et de la date du fait générateur d’imposition.
Source : www.economie.gouv.fr
Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. qui saura vous accompagner sur l'impact de ces changements en fonction de votre situation fiscale et patrimoniale.
Assurance-vie : des options pour sécuriser ses gains
Des options permettent de lisser les résultats des assurances-vie investies en unités de compte.
Les options de « pilotage automatique » permettent d'amortir les à-coups boursiers et de résoudre la délicate question du bon « market timing ».
La prescription est bien connue : pour gagner plus , il faut injecter dans son contrat d'assurance-vie de 20 % à 30 % de supports en unités de compte (UC). Mais les UC, indexées sur leurs marchés de référence, n'offrent aucune garantie en capital. Et on le sait, les pertes peuvent être durables.
D'où l'intérêt de se pencher sur les quatre principales options de gestion automatisée, souvent gratuites, mises en avant par les assureurs pour lisser la prise de risque.
La sécurisation des plus-values (ou écrêtage)
Ce système permet de transférer régulièrement sur le fonds en euros les plus-values générées par les UC dès lors qu'un certain seuil de valorisation du support est franchi (+5 %, +10 %, etc..).
La mécanique inverse dite de « dynamisation des gains » qui consiste à arbitrer les revenus générés par le fonds euros vers une (ou plusieurs) unité(s) de compte pour profiter progressivement des hausses de marché mérite également l'attention.
Le stop loss
Ce mécanisme enclenche le désinvestissement des supports en UC à partir d'un seuil de moins-value préfixé avec le client.
A l'inverse, le « stop win » qui sécurise l'encours d'un (ou plusieurs) support(s) dès lors qu'il(s) génère (nt) une plus-value supérieure à un plafond prédéfini retrouve de sa pertinence aujourd'hui. Mais comme le stop loss, cette option doit pouvoir être levée en cas de trop fortes turbulences boursières pour ne pas devenir contre-productive.
Le couloir de performance
L'assuré choisit des bornes à la hausse et à la baisse au-delà desquelles il souhaite arbitrer et sécuriser.
Cette option se rapproche de celle du rééquilibrage automatique dont l'objectif, plus simple est de maintenir l'allocation d'actifs initiale du contrat dans le temps.
L'investissement progressif
Ce programme qui permet d'arbitrer sur la base d'une périodicité prédéfinie un même montant de son fonds en euros vers une ou plusieurs UC a pour principale vertu de lisser le prix d'entrée sur les actions : on achète automatiquement plus lorsque les cours sont bas et moins lorsqu'ils remontent.
Notre analyse : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. qui saura vous accompagner dans le choix de votre contrat d'assurance vie et votre allocation d'actifs en fonction de vos objectifs et de votre profil.
Source - LES ECHOS - Laurence Delain
La suite sur lesechos.fr
Découvrez le 2ème épisode de « How I met my CGP », la web série de #PrimonialSchool.
Louise est un personnage fictif qui aborde des sujets associés à l'univers de la gestion de patrimoine.
Dans cet épisode, Louise découvre les premiers éléments de compréhension sur le thème de « l'allocation d'actifs ».
Cliquez sur la vidéo pour visionner :
Notre analyse : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. qui saura vous accompagner dans le choix de votre allocation d'actifs en fonction de vos objectifs et de votre profil.
Source : https://www.primonialschool.fr
Comment calculer son impôt sur le revenu en fonction des tranches d'imposition ?
L'impôt sur le revenu est un impôt progressif, calculé en fonction d'un barème actualisé tous les ans par la loi de finances. Ce barème comporte cinq tranches d'imposition qui augmentent avec les revenus. Comment calculer son taux marginal pour la taxation des revenus de 2017 ?
Le montant de l'impôt sur le revenu brut se calcul partir du revenu net imposable, en 3 grandes étapes :
1.Diviser le revenu net imposable par votre nombre de parts.
2.Appliquer ensuite à ce résultat le barème progressif de l’impôt (défini par tranche).
3.Multiplier le résultat obtenu par le nombre de parts du quotient familial.
La suite sur : https://www.economie.gouv.fr/particuliers/tranches-imposition-impot-revenu
SCI : intérêt de l’option à l'IS
L'option à l'IS diminue l'imposition des revenus mais majore la plus-value.
Un des avantages très appréciés de la SCI est la possibilité de soumettre son activité au régime de l’impôt sur les sociétés (IS), ce qui permet de diminuer l’imposition des revenus immobiliers courants. Mais en contrepartie la taxation des plus-values de cession des biens de la SCI sera majorée. L’option à l’IS permet en effet de déduire les amortissements des immeubles possédés par la SCI, mais ces amortissements déduits viennent majorer le montant des plus-values de cession. Cependant le choix de l’IS s’avère souvent pertinent car il permet de disposer d’une trésorerie suffisante pendant la phase de remboursement des emprunts de la SCI. Attention, ce choix est à proscrire si les associés souhaitent conserver la jouissance personnelle d’un ou des biens de la SCI. Il faut également noter qu’une SCI pratiquant une activité considérée comme commerciale par le code général des impôts, telle que la location meublée, relève obligatoirement de l’impôt sur les sociétés, ce qui sera très souvent défavorable.
Notre analyse : le choix de transformation ou de constitution d'une SCI à l'IS est un choix important, Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. qui saura vous accompagner en fonction de votre profil et de vos objectifs.
Source : Le Revenu - Didier Caplan
La suite sur https://www.lerevenu.com/sci-faut-il-choisir-limpot-sur-les-societes
Bourse / Assurance Vie et Unités de compte : comment gagner par tous les temps
Placer la même somme chaque mois ou chaque trimestre permet de rester dans le vert plus longtemps en cas de baisse des marchés actions. (…) «Étaler un placement en Bourse sur une période de dix-huit mois ou deux ans par des investissements programmés, peut avoir un impact du simple au double sur la performance finale par rapport à un versement unique», indique Patrice Henri, directeur général d’Harvest, qui produit des outils de simulation patrimoniale. (…)
Notre analyse : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. qui saura vous accompagner dans le choix de vos contrats et allocations d'actifs en fonction de votre profil et de vos objectifs
Source : Le Revenu - Par Aline Fauvarque
La suite sur https://www.lerevenu.com/bourse/bourse-comment-gagner-par-tous-les-temps
Assurance-vie : pourquoi démembrer la clause bénéficiaire ?
Prenons un exemple : vous versez une prime unique de 400.000 euros à 65 ans sur un contrat d’assurance vie. Votre conjoint est désigné usufruitier et votre enfant nu-propriétaire. À votre décès, le contrat d’une valeur de 500.000 euros est taxé. Votre conjoint quasi-usufruitier est alors âgé de 69 ans. La valeur de son usufruit est de 40%, soit 200.000 euros. Par déduction, la valeur de la nue-propriété est de 60%, soit 300.000 euros. La fiscalité sur l’usufruit est nulle puisque le conjoint est exonéré depuis la loi Tepa de 2007. L’enfant, en revanche, est taxé à hauteur de 20% sur la valeur de la nue-propriété. Mais il bénéficie d’une fraction de l’abattement de 152.500 euros (art. 990 I du CGI) propre à l’assurance vie, au prorata de la valeur de sa nue-propriété, soit 91 500 euros. Le contrat est alors taxé à 20% sur une base de 208.500 euros, ce qui représente une fiscalité totale de 41.700 euros. À partir des mêmes chiffres, une clause bénéficiaire non démembrée avec pour unique bénéficiaire l’enfant aurait entraîné une imposition de 69.500 euros.
Notre analyse : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. qui saura vous accompagner dans la rédaction de votre clause bénéficiaire et le choix de vos contrats en fonction de vos objectifs.
La suite sur https://www.lerevenu.com/placements/assurance-vie/assurance-vie-pourquoi-demembrer-la-clause-beneficiaire
Source : www.lerevenu.com publié le 3-02-2019
Revenus 2018 : des pouvoirs de contrôle renforcés pour l’administration fiscale
Le tri entre revenus courants et revenus exceptionnels devra être opéré par les contribuables lors de leur déclaration de revenus et certains pourraient ainsi être tentés d’assimiler des revenus exceptionnels à des revenus courants pour en éviter l’imposition. La prudence demeure néanmoins de mise car l’administration fiscale dispose de pouvoirs renforcés pour contrôler les revenus de cette année transitoire. Le délai de contrôle a tout d’abord été exceptionnellement étendu de trois à quatre ans, ce qui permet à l’administration d’exercer son pouvoir de rectification jusqu’au 31 décembre 2022. L’administration peut par ailleurs formuler des demandes de justifications. En cas de réponse insuffisante du contribuable, elle peut, sous conditions, remettre en cause d’office le crédit d’impôt. Il en est de même si les éléments fournis laissent apparaitre que le contribuable a procédé à des opérations qui ont eu « principalement » pour objet et pour effet d’augmenter le montant du CIMR. Enfin, seuls les revenus déclarés spontanément par le contribuable devraient a priori pouvoir bénéficier du CIMR.
Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. qui saura vous accompagner et vous conseiller.
La suite sur www.lexplicite.fr
Source - Lexplicite - Philippe Gosset, avocat, droit fiscal - 31-01-2019